Sometimes you’ll hear people say that, in Québécois French, the second-person singular tu (meaning you) gets added in anywhere and everywhere in sentences… without rhyme or reason!
On y va-tu?
T’as-tu vu ça?
Ça se peut-tu?
Shall we go?
Did you see that?
Is that possible?
But, as we’ve seen before, the tu they’re referring to isn’t the second-personal singular at all. It’s a yes-no question marker used in informal language.
On y va-[oui/non]?
T’as-[oui/non] vu ça?
Ça se peut-[oui/non]?
If you leave out the yes-no tu, the question still means the same thing:
On y va?
T’as vu ça?
Ça se peut?
But, rather than just making the voice rise at the end like in those last examples, the tu is often included when formulating yes-no questions — or at least in informal language, it is.
The answer to the title of this blog post is ça se peut-tu, with a t in peut, not an x. That’s because the tu in ça se peut-tu isn’t the second-person singular; it’s not the subject. The conjugation, then, aligns with ça (i.e., peut), not tu (i.e., not peux).
Why is this important?
The next time you hear someone say the Québécois add in the second-person singular tu just about anywhere they like as if it were salt, you’ll know it’s not true!
Je suis heureux de voir qu’il existe un site ou nos ami(e)s anglophones peuvent se référer pour apprendre le québecois-français que l’on parles. Attention, ce n’est pas parce que l’on parle québécois que l’on parle joual. C’est vraiement une langue, la langue québécoise-française d’Amérique entourer de de 360 millions d’anglepnones, c’est presqu’un miracle qu’on le parle encore et je dirais de mieux en mieux.
Tu sais comme moi que, quand c’est le temps de bien articuler, on le fais dans les règles de la l’art, comme je le fais actuellement.
Je t’écris à propos de cette chronique, “Ça se peut-tu!” ou “Ça se peux-pas!”
J’ai mis un (!) sur les deux parce qu’ils sont tous les deux une exclamation, à mon humble avis.
Également, il y aurait dû être écris: “Ça s’peut-tu!” et “Ça s’peux pas!”.
Sinon, và falloir le prononcer “Ça-se-peut-tu?” ou “Ça-se-peux-pas!” Il manque une liaison et c’est le (s’) qui a le rôle.
Il ne faut pas voir ici, que je te donns une leçon, jamais, tu fais un super travail que je qualifirais de “de moine”. Tu dois faire un tas de recherches dans la grammaire et tu sais que ce n’est pas facile la grammaire française.
Je te félicite, tu mérites une médaille. Tiens, il devrait y avoir au québec une médaille de mérite, comme en France, tu en mérites une.
Et félicitation à ce site d’intérêt, et pour ceux qui veulent apprendre la langue de chez nous.